Un peu d’Histoire

Sur le théâtre à la Boutouchère

Si aujourd’hui, la troupe « La Bohême » continue brillamment ses représentations, c’est qu’elle hérite d’une tradition théâtrale déjà ancienne.

En 1947, à l’occasion de la Fête des Mères, les enfants de l’école Publique et de l’Ecole Privée se retrouvaient au patronage pour présenter quelques saynètes et chants.

En 1948, Jean Bigeard, missionné par l’abbé Amirault, dans le cadre de la JAC (Jeunesse Agricole Chrétienne) présenta une première pièce intitulée : « L’auberge des 4 vents ».

En 1951, les Jeunes de la Boutouchère participent à la Coupe de la Joie, qui est un concours de groupes. Les filles remporteront le 1er prix cantonal et les garçons arriveront 1er au canton, au département et à la région.

Les Religieuses enseignantes, aidées de bénévoles, prennent en mains l’activité théâtre. Les représentations ont lieu à la Salle Saint Madeleine. Pour récompenser les acteurs méritants, des voyages sont organisés, avec les cars Audusseau, à Bagnoles de l’Orne, au Mont Saint Michel et même à Montmartre!

L’activité théâtre s’arrêtera pendant quelques décennies avant de repartir en automne 1993.

Chaque année, à partir du mois de septembre, les 8 à 10 acteurs de la Bohême mais aussi plus d’une vingtaine de bénévoles, s’activent pour choisir une comédie, apprendre des textes et répéter. Après le montage des décors, en janvier, 9 à 10 représentations sont données au mois de février et de mars.

Et l'histoire continue !

Depuis ses débuts, la troupe n’a cessé d’évoluer, de se réinventer et de rassembler autour de sa passion pour le théâtre. Chaque année apporte son lot de souvenirs, de rires, de créations et de rencontres.

La suite de notre histoire s’écrit avec vous.

Suivez-nous sur les réseaux sociaux pour découvrir les coulisses, les répétitions, les dates à venir… et tout ce qui fait vibrer notre scène au quotidien !

Notre histoire en photos

1950

Bibi

1951

La femme aux yeux fermés

1951

La femme aux yeux fermés

1955

Terre de feu

1956

L'escale

1958

Le grillon du foyer